Les origines d’une infection alimentaire

Une intoxication se produit après que vous avez mangé un aliment ou bu une boisson contaminée par des virus, des bactéries ou des parasites. Vous pouvez trouver ces derniers dans les nourritures qui n’ont pas été bien lavés ou qui n’ont pas été conservés convenablement. Les aliments, dont la température idéale pour leur conservation n’a pas été respectée, peuvent aussi engendrer divers maux de ventre. Par ailleurs, ingérer de la nourriture qui n’est pas cuite correctement ou toute crue peut causer une infection gastro-intestinale. Par la suite, des nausées, de vomissements, de douleurs au niveau de l’abdomen ainsi que des diarrhées peuvent se manifester. La personne atteinte peut ne ressentir que l’un de ces effets tout comme elle peut aussi les ressentir en même temps. Toutefois, il faut prendre des précautions et vous méfier, car une intoxication aggravée peut conduire à la mort.

La prévention contre les intoxications alimentaires

Les intoxications alimentaires peuvent atteindre tout le monde. Il est alors important de s’en protéger. Quand vous préparez votre repas, lavez vos mains pour enlever toute trace de saleté qui peut infecter vos aliments. Lavez bien aussi vos aliments avant de les préparer ainsi que vos ustensiles de cuisine. N’utilisez que de l’eau propre ou bouillie avant de le boire. D’autre part, certains aliments sont fortement déconseillés pour une consommation crue tels que la viande, le lait et l’œuf. Faites-les donc bien cuire avant de les manger. Respectez aussi la date de péremption sur les emballages de tous produits en sachets, en boîte ou en conserves. Ne les mangez plus si la date de consommation limite est passée. En outre, après chaque utilisation, désinfectez votre plan de travail. Quoi que vous prépariez ou que vous mangiez, priorisez toujours la bonne hygiène afin d’éviter toutes sortes d’intoxications.

Pratiquez le yoga

Les causes du baby blues sont multiples. Cependant, la première méthode pour le combattre est de pratiquer une activité relaxante, comme le yoga. Cette discipline est un véritable anti-stress pour de nombreux parents qui se retrouvent submergés par le poids de leurs rôles.

En moyenne, 3 séances suffisent pour plonger au cœur de la dépression et retrouver la paix intérieure. Au fur et à mesure, les séances deviennent une échappatoire permettant aux parents de souffler le temps de quelques heures et se recentrer sur eux-mêmes.

Misez sur le CBD

Le CBD est une solution efficace contre toutes les formes de dépression, dont le baby blues. Ce produit ne se substitue pas à un antidépresseur pharmaceutique, mais constitue une alternative naturelle. Les effets du CBD sont puissants et rapides. Le dosage est fortement réglementé et une petite quantité permet de ressentir son effet relaxant sur le corps. Consultez ce site pour obtenir des conseils.

Les bienfaits du CBD sur le baby blues sont scientifiquement prouvés et la loi change positivement en faveur de ce remède naturel.

Partez en vacances

L’un des meilleurs moyens de vaincre une dépression est de s’éloigner un temps de sa source. Si votre foyer est malheureusement le centre de votre baby blues, n’hésitez pas à prendre un week-end de vacances. Le but est de vous vider la tête et de vous retrouver seul(e) le temps de faire le point.

Vous pouvez, par exemple, organiser un voyage entre amis(es) ou tout simplement voyager en solo. Le plus important est de vous éloigner pendant un temps déterminé afin de revenir en force et en paix avec vous-même. N’hésitez pas à réitérer ce procédé dès que vous vous sentez submergé.

Le fitness

C’est un tout-en-un. Le fitness est le sport le plus pratiqué au monde. Il attire autant les novices que les professionnels et permet de brûler une tonne de graisse à chaque séance. Ce sport est basé sur le renforcement musculaire et le cardio. Le but du fitness est donc de permettre à ses adeptes de se tonifier et d’être résistant. Il est désormais possible de pratiquer ce genre d’exercice en salle, en ligne ou à domicile. Toutefois, la présence d’un coach est vivement recommandée.

La zumba

Pour rester en bonne santé et s’amuser en même temps, pratiquez de la zumba ! Si vous aimez chanter et danser, c’est la meilleure activité physique à pratiquer. La zumba est surtout conseillée aux personnes qui veulent se maintenir en forme, sans pour autant se forcer. Si vous n’avez que peu de temps par jour, vous pouvez télécharger de nombreuses vidéos de zumba sur Internet et faire une séance de 30 mn chaque matin avant d’entamer votre journée.

Il est à noter que pour être efficace, cette activité s’accompagne d’un régime alimentaire strict. Pour avoir des conseils diététiques en accompagnement de vos séances de zumba, rendez-vous sur en-bonne-sante.eu.

Le footing

Courir 2 km chaque matin permet non seulement de brûler des graisses, mais surtout de garder la forme. C’est une bonne habitude à prendre avec vos enfants pour passer un moment en famille, tout en entretenant le corps. Le footing matinal permet à votre cerveau de sortir de sa léthargie et d’être plus actif durant la journée. Pour ceux qui ont pour but de perdre du poids, préférez un footing en après-midi.

Stérilisation et utilisation adéquate des matériels

Lors d’une séance de dermopigmentation, la plupart des matériels sont à jeter après une seule utilisation. Cela inclut par exemple le crayon dermographique, les gants et les aiguilles. Ces accessoires sont même retirés de leur emballage au moment même de l’intervention pour rassurer les clients. Quant aux équipements à usage multiple comme le dermographe pour maquillage permanent, l’hygiène est encore plus renforcée. La stérilisation est obligatoire pour une meilleure sécurité sanitaire et afin de prévenir les risques d’infections. Tout objet exposé à l’air libre peut en effet abriter des microbes capables de s’introduire dans la peau après la réalisation des micro-perforations.

Bonne hygiène des mains

La praticienne doit toujours nettoyer préalablement ses mains, enlever ses bijoux et avoir des ongles coupés pour faire du maquillage permanent. Après le nettoyage suivra la désinfection qui est nécessaire pour éliminer toutes les bactéries. A noter que pour le lavage des mains, il est possible d’utiliser un savon antiseptique ou une lotion hydro-alcoolique. La spécialiste devra quand même porter des gants en latex à usage unique certifiés par la norme européenne avant de pouvoir commencer l’intervention. Si la séance dure plus longtemps, il est possible de changer de gants à plusieurs reprises.

Propreté irréprochable de la salle de maquillage

La réalisation d’un maquillage permanent doit se faire dans une salle parfaitement propre. Le local doit donc être nettoyé régulièrement en utilisant des savons et des produits adaptés et efficaces. L’objectif est d’éviter l’insalubrité mais aussi d’écarter tout risque de contamination bactérienne. Avant et après la venue d’un client, le lit, les chaises, les tables et le sol sont toujours à nettoyer minutieusement. La salle doit prévoir en permanence des matériels de nettoyage pour assurer une propreté en temps plein, notamment en cas d’inattention ou de maladresse. Il est nécessaire d’utiliser des tissus de nettoyage non pelucheux pour l’entretien du local. Changez et nettoyez également les linges et les serviettes à chaque fois que c’est nécessaire.

Préparation de la peau

Avant de commencer le maquillage permanent, la peau requiert aussi un bon nettoyage. C’est nécessaire pour faciliter l’identification du pigment à utiliser en fonction de la carnation de la peau. A noter que si c’est nécessaire, la praticienne peut aussi procéder à l’épilation de la zone.

Le nettoyage se fait en 4 étapes importantes :

• Application d’un savon ou d’une solution antiseptique sur toute la zone à maquiller.
• Rinçage de la peau avec de l’eau tiède
• Séchage à l’air libre ou avec une serviette sans propre et sans poil
• Utilisation d’un autre antiseptique

Les rôles cruciaux de vos reins

Vos reins jouent d’autres rôles indispensables à votre bonne santé générale. Entre autres choses, ils régulent les taux de minéraux dans votre organisme et ils convertissent la vitamine D en sa forme active, c’est-à-dire pour vous donner des os solides, pour avoir un coeur en bon état et pour prévenir des cancers. Vos reins aident aussi à réguler la tension artérielle et à stimuler les hormones qui stimulent la production de globules rouges. En tout cas, pour vivre en bonne santé et longtemps, il est vital de prendre soin de ces organes petits, mais puissants.

Que faire pour avoir des reins en bonne santé ?

Si vous fumez, il est temps d’arrêter, car la cigarette est un important facteur de risque d’insuffisance rénale. Veillez également à ne pas boire de l’alcool à l’excès, car consommé en grande quantité, l’alcool nuit aux reins. Le diabète et l’hypertension artérielle sont les deux principales causes de l’insuffisance rénale, aussi, si vous souffrez de l’une ou l’autre de ces maladies, suivez scrupuleusement votre traitement. Si vous êtes en surpoids, faites ce qui est possible pour perdre quelques kilos. Faites également attention à votre alimentation et adoptez un régime à faible teneur en protéine, car des taux élevés en protéine peuvent endommager les reins. Consommez du liquide en grande quantité, mais pas trop.

Ce qu’il faut éviter

Si vous vivez avec un asthmatique, évitez qu’il ne sorte pas ou ne se promène pas à l’extérieur lorsque des pics de pollution surviennent, en particulier près des trafics routiers importants et des axes de circulation. Pour une personne qui n’a pas d’asthme, ce genre de situations peut paraître anodine mais pour un asthmatique, ça peut être littéralement catastrophique. De même, si vous avez un enfant en bas âge asthmatique, évitez de l’emmener en poussette car il sera pile à la hauteur des pots d’échappements. La base, pour protéger un asthmatique, c’est d’arrêter de fumer ou au moins ne pas fumer en sa présence. Le tabagisme passif a des effets dévastateurs sur les bronches et entretient la maladie inflammatoire.

Ce qu’il faut faire

Il faut bien préparer tout ce dont votre proche pourrait avoir besoin pour gérer son asthme. En tête de liste figure l’inhalateur qu’il doit savoir utiliser correctement. Même si c’est la personne asthmatique qui s’en sert, c’est une bonne chose si, vous aussi, vous appreniez à l’utiliser, en cas d’urgence. Il est également indispensable de limiter au maximum les contacts avec les allergènes, car un grand pourcentage des causes d’asthme tant chez les enfants que chez les adultes sont les aéro-allergènes comme les moisissures (il faut, de ce fait, vérifier l’humidité de votre habitation) et les poils d’animaux. Il est préférable de ne pas garder un animal à poils chez vous.

Le diabète de type 1

Le diabète de type 1 est aussi baptisé diabète sucré. Il s’agit du diabète le moins répandu de tous (10 à 15% des cas). Il touche les personnes qui n’ont aucun problème de surpoids et qui ont un âge inférieur à 30 ans. Le plus souvent, il est causé soit par l’insuffisance d’insuline, soit par un dysfonctionnement de celle-ci. A l’origine de ces problèmes, on retrouve généralement l’altération des cellules du pancréas, celles qui produisent l’insuline, par l’organisme. Ces cellules, appelées cellules bêta des ilôts de Langerhans, s’altèrent malgré une anomalie du système immunitaire. Malgré cela, le taux de glucose augmente car il ne parvient pas à pénétrer dans ces cellules et reviennent de ce fait dans le sang. Quels sont les symptômes de ce type de diabète ? Les signes suivants devraient vous alerter : polydipsie ou soif particulièrement important, fatigue, abondance d’urine, douleurs au niveau de l’abdomen, perte de poids considérable, différentes infections, etc. Une prise en charge est nécessaire, le médecin prescrira un régime adapté à l’état du patient combiné à l’insuline. Le diabétique est aussi appelé à pratiquer des exercices physiques et arrêter toute consommation de tabac.

Le diabète de type 2

Le diabète de type est aussi connu comme le diabète gras. On lui attribue aussi un autre nom : le diabète de la maturité. Il s’agit du type de diabète le plus répandu de nos jours, les personnes les plus concernées sont celles âgées de plus 50 ans et plus. Le diabétique doit être surveillé régulièrement car les complications peuvent être dangereuses. De plus le traitement doit être parfaitement adapté à son état. On parle aussi de DNID ou diabète non insulino-dépendant qui serait lié à une teneur excessive et permanente de sucre dans le sang.
On compte plusieurs facteurs de risque de diabète de type2 notamment :
• La génétique : le diabète de type 2 peut avoir une origine génétique car certaines populations peuvent être plus concernées que d’autres.
• L’hérédité : ceux qui ont un parent ou ascendant diabétique présentent plus de risque.
• Les problèmes de surpoids sont de vrais facteurs de risque, c’est pour cela que ce type de diabète concerne surtout les personnes obèses (60 à 90% des cas).
• Les personnes souffrant d’hypertension artérielle
• Les personnes consommateur de tabac, etc.
Ce type de diabète est souvent sans symptôme mais si les signes suivants apparaissent, il faut consulter rapidement : fatigue, miction fréquente, soif, perte de poids, etc. Une prise de sang confirmera le diabète de type 2. Cet examen se fait à jeun et si les résultats affichent un taux de glycémie supérieur ou égal à 1.26g/l deux fois successives, la maladie se confirme.
Le patient sera alors tenu de respecter des règles hygiéno-diététiques strictes (alimentation saine et équilibrée, grignotage interdit, etc.). Il peut consommer des glucides mais oublier les sucres rapides. Le régime recommandé à son état est hypocalorique. En ce qui concerne les traitements médicamenteux, on retrouve les biguanides (renforce l’action de l’insuline au niveau de l’organisme), les sulfamides hypoglycémiants (agit sur le pancréas), les glinides (agit sur la sécrétion pancréatique d’insuline) et les inhibiteurs de l’alpha-glucosidase (augmente la glycémie post-prandiale). L’insulinothérapie vient aussi renforcer le traitement (voie orale ou injection).

Le diabète gestationnel

Lorsque la femme est atteinte de diabète, on parle de diabète gestationnel. Ce type de diabète est fréquent chez les femmes enceintes et apparait généralement pour la première fois pendant la grossesse. Il est possible que le diabète fût déjà là mais ne s’est jamais manifesté. Les femmes concernées doivent être suivies de près car la maladie peut être dangereuse pour elle et le bébé. Il est souvent détecté vers le second ou le troisième trimestre. Les femmes enceintes doivent toujours faire un test glycémique afin d’être prises en charge immédiatement lorsque le diabète est confirmé. Une prise en charge immédiate permet de réduire les avortements spontanés, le surpoids de l’enfant (plus de 4 kg) et toute forme de complication. Pour la mère comme pour l’enfant les risques sont nombreux. La mère risque d’avoir une hypertension, une infection urinaire, subir une césarienne, accoucher avant terme, devenir une diabétique de type 2 après l’accouchement. L’enfant, lui, risque d’être en surpoids à la naissance, souffrir d’hypoglycémie néonatale, devenir diabétique, etc. Dans la plupart des cas, le diabète gestationnel est appelé à disparaître quelques semaines suivant l’accouchement.

Quelques complications possibles

La récidive est l’une des complications les plus fréquentes de la dépression, en tout cas dans la moitié des cas. Afin de ne pas connaître une telle récidive, une prise en charge complète est nécessaire. L’une des complications est le passage à la dépression chronique. La persistance de symptômes résiduels est également constatée dans plusieurs cas, ce qui veut dire que la personne dépressive continue à manifester des signes de dépression après un traitement de fond. Le risque de suicide est également un risque trop souvent présent, notamment pour les personnes âgées de 70 ans et plus. Les idées noires que ruminent les personnes dépressives sont des signaux d’alarme qu’il ne faut pas ignorer car il suffit parfois d’un pas pour qu’elles se suicident.

D’autres troubles associés à la dépression

La dépression est associée à d’autres problèmes de santé. On peut parler de l’anxiété ou de la dépendance, telles que l’addiction à l’alcool, aux drogues, aux médicaments, etc. La dépression peut également augmenter le risque de développer ou d’apparition de certaines maladies telles que le diabète et les maladies cardiovasculaires. Cela s’explique notamment par le fait que les personnes dépressives ont moins envie de faire des exercices physiques et à manger correctement. De ce fait, elles sont plus vulnérables aux problèmes cardiaques et au diabète.

L’excès de cholestérol se manifeste par de nombreux symptômes

De manière générale, l’hypercholestérolémie reste discrète. Cette pathologie se manifeste lorsque le taux de cette matière grasse dans le sang atteint un niveau critique. Ainsi, si plusieurs de ces symptômes vous arrivent, il faut consulter. Les malades rapportent souvent une douleur chronique dans les mollets. Ils ressentent parfois une oppression lancinante au niveau de la poitrine. La graisse accumulée dans le cœur entraîne différentes complications. Le malade a beaucoup de mal à réaliser le moindre effort physique, car ses artères sont chargées. Des nausées accompagnées de vertige leur arrivent régulièrement. Dans certains cas, les problèmes s’allongent avec des céphalées insupportables ainsi que de la fièvre répétitive. Des épisodes d’essoufflement suivis de palpitations surviennent parfois. La personne peut ressentir une froideur aux extrémités. Les muscles du visage deviennent moins toniques. Le patient a l’air fatigué en permanence. Ses bras et jambes sont faibles sur un côté. À un stade avancé, trop de cholestérol entraîne une difficulté d’élocution aggravée par des troubles de la vue. La perte de conscience survient dans des cas extrêmes. Pour les dames, les signes deviennent plus évidents à partir de la ménopause. Ils arrivent une décennie plus tard pour les hommes. Des facteurs de risque sont même à redouter. Le surpoids et la cigarette vont aggraver l’hypercholestérolémie. Le diabète, l’hypertension ainsi que les troubles nerveux sont souvent associés à cet excès de lipide.

Une analyse de sang à jeun

Vous l’avez peut-être remarqué : les symptômes du cholestérol sont les mêmes que d’autres maladies. Ce camouflage rend le diagnostic difficile à établir. Comme le note ce site, l’analyse de sang reste l’unique moyen infaillible pour en avoir le cœur net. Le prélèvement devrait se faire à jeun. La personne ne devrait plus rien manger ou grignoter pendant 12 heures. Les boissons à l’exception d’un peu d’eau sans sucre sont également à arrêter une nuit entière avant la prise sanguine. Lors de l’analyse médicale, les tests portent sur le taux de cholestérol total, celui des HDL (mauvais cholestérol) ainsi que celui des triglycérides. Le dosage du LDL se calcule à partir de ces valeurs. C’est une matière grasse indispensable au corps. Si le taux de cholestérol s’avère en effet élevé, il faut juste ajuster son alimentation : manger moins d’aliments gras, réduire un peu les sucreries, éviter les aliments industriels, etc. Une meilleure hygiène de vie devrait aussi suffire avant l’administration de médicaments. Il faudrait également faire du sport régulièrement. Ceux qui ont des antécédents familiaux de cholestérolémie doivent faire l’analyse à partir de la trentaine. Les séniors ont intérêt à la passer. La prise de sang devrait être refaite tous les trois ans. Les artères se portent moins bien avec l’âge. Alors, il faudra surveiller tous les éléments qui pourraient entraver la bonne santé cardio-vasculaire.

Assurance maladie complémentaire et mutuelle santé

En premier lieu, il existe un dispositif qu’on appelle assurance maladie complémentaire. Cette dernière peut être assignée à une assurance santé classique, mais également, à une mutuelle santé, en fonction des cas. Cependant, il n’est pas obligatoire d’y souscrire et le remboursement se fera seulement, après mobilisation au niveau de la sécu. Pour ce qui est de sa souscription, il est possible de le faire au niveau d’un établissement de mutuelle ou d’une assurance. Concernant la mutuelle santé, déjà dans sa forme, c’est une organisation à but non lucratif, qui est constituée par plusieurs personnes avec une base solidaire. Ces personnes vont alors, faire une cotisation qui va constituer le fond de roulement de l’organisation. Concernant l’organisation interne, on aura des membres qui vont gouverner la mutuelle. Ces derniers qui sont désignés ou élus par les membres. Ainsi, à la fin de chaque année fiscale, les excédents d’exploitation seront départagés entre chaque membre ou stockés comme réserve de l’organisation. Par rapport à la sécurité sociale, la souscription à la mutuelle n’est pas obligatoire, mais elle est recommandée, voire, obligatoire, pour les personnes qui travaillent en entreprise. Dans ce cas, parmi les offres que ce type d’organisation peut proposer, on peut noter les contrats de prévoyance, mais aussi, de maladie ainsi que de retraite. À noter également, que toutes les mutuelles sont régies par le Code de la mutualité. Outre ce point, on notera également, que la mutuelle concerne les contrats qui sont mis à disposition des clients et qui leur sont vendus de manière commerciale. Cela, afin de couvrir les frais comme l’honoraire du médecin traitant ou spécialiste, les dépenses engagées dans l’hospitalisation ou encore, les frais issus des analyses médicales que le client à effectuer.

L’assurance santé, la complémentaire santé et la sécurité sociale

Tout comme les mutuelles, l’assurance santé est aussi une organisation à bon non lucratif. Cependant, c’est un organisme dont les activités sont régulées par le code de l’assurance et non de la mutuelle. La différence dans ce cas, c’est que l’intervention de l’assurance santé se limite à des services financiers. En d’autres termes, en souscrivant à un contrat d’assurance santé, vous aurez droit à une indemnisation, mais peut aussi espérer des primes ou des crédits. Pour une mutuelle de santé, la souscription permet de faire intervenir la solution dans des cas de prestations sanitaires ou sociales. Pour ce qui et de la complémentaire santé, c’est un service qui est surtout délivré par les établissements d’assurance. Il permet de demander un remboursement sur les frais engagés à la suite d’une maladie et dont l’application est régie par le code des assurances. Ce type de dispositif sera ainsi, mobilisé en complément de la sécurité sociale et ne peut être octroyé que s’il y a plafonnement au niveau du remboursement par la sécu. Elle vise donc, à compléter les frais à rembourser, mais sous certaines conditions et avec des montants également, plafonnés. Et enfin, concernant la sécurité sociale, il s’agit ici d’un service octroyé par l’État. Son but est de couvrir les résidents et ceux qui ont la nationalité française, contre les risques sociaux. Dans ce cas, elle intervient et rembourse en partie les frais relatifs à un cas d’accident ou d’une maladie. Elle s’assure également, de la gestion des allocations familiales et de la retraite. On peut donc en bénéficier, après avoir effectué des cotisations qui peuvent se faire en entreprise ou de manière personnelle.